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9 décembre 2012 7 09 /12 /décembre /2012 18:10

DU 7 JANVIER AU 3 FEVRIER    /  THEATRE de la BASTILLE 

 

lost replay (flyer)


Texte musique et mise en scène de Gérard Watkins

 

Avec

 

Anne Alvaro

Gaël Baron

Antoine Mathieu

Fabien Orcier

Nathalie Richard

 

 

 

Avec l’aide de la Drac Ile de France - ministère de la culture et de la communication, l’aide à la production d’ARCADI,

l’aide à la commande de la SACD/SYNDEAC 2011,

et l’aide à la création de l’ADAMI et de la copie privée

Production :Perdita Ensemble Coproduction Hippodrome - scène nationale de Douai, Théâtre de la Bastille, Théâtre Garonne – Toulouse, Théâtre 95 – scène conventionnée, Centre des écritures contemporaines de Cergy-Pontoise.

Avec le soutien de la Comédie de Reims

et du Théâtre de Nanterre-Amandiers.

Avec l’aide du Compagnonnage du ministère de la culture

et de la communication.

 

Assistanat à la mise en scène deMaya Boquet

Scénographie deMichel Gueldry

Lumières deChristian Pinaud

Création sonore deFrançois Vatin

Création Maquillages deNathy Polak

Administration de production deSilvia Mammano

Régie Générale deAlain Jungmann


 

Perdita Ensemble 18 rue de la paix 93260 Les Lilas

Le Perdita Ensemble est conventionné par la Drac Ile de France-Ministère de la Culture et de la Communication

 

 

 

 

Lost (replay)

 

(synopsis)

 

« Trois anges sont expulsés du paradis, et se réveillent sur terre, traumatisés, dans le sous-sol d'un immeuble parisien. Ces anges déchus se demandent ce qu'ils vont faire, ruminer, panser leurs plaies, retourner là-haut se venger ? Ils opteront pour un défi. Ils tenteront de prouver, autant à eux-mêmes, qu’aux humains, que l'Humanité mérite encore son nom, en organisant une rencontre entre deux êtres esseulés. Sur le toit de l'immeuble, bien à vue du ciel. »

Lost (replay) / Présentation par l’auteur

 

origine

 

Lostveut dire perdu. Replaysignifie rejouer. À l’origine du projet est le Paradise Lost  de John Milton. Je m'en suis éloigné, radicalement, pour confronter trois anges déchues à un homme et une femme d’aujourd’hui. La femme et l’homme en question, sont seuls, en surcis dans un monde qui les dépasse. L'homme surveille les conversations des employés pour une entreprise de télécommunication, et la femme, sans-emploi, accumule des « instruments de communication qui isolent », dont la dernière pièce maitresse est une « box ». Ils nous ressemblent. Dans nos errances et nos contradictions. Le regard sur eux est à la fois tendre et fiévreux. Burlesque et tragique. Charnel et distancié.Trois anges rebelles et déchus, furieux de voir l'humanité sombrer ainsi dans le néant, débarquent. Ils trouent le ciel, traversent l'immeuble par le conduit de cheminée et atterrissent au sous-sol.

sur le plateau

 

Ce conte fantastique va se déployer en trois temps, trois mouvements d'écriture.

 

Parce que les formes et structures complexes de narration qu'offrent le théâtre, permettent d'en dire autant sur notre époque que la fable elle-même. Elles permettent, comme le désirent si ardemment les anges déchus, de remettre l'humain au centre.

 

La première partie se déroule comme un puzzle visuel, naïf, et burlesque. Ce sont des impacts organiques. Juxtaposées sur deux niveaux. Les humains en haut, les anges en bas. Comme si ces deux niveaux n'avaient rien à voir l'un avec l'autre. Les humains n'ont, pour l'instant, rien d'autre à déballer que leur enlisement dans le matérialisme. Et les anges, rien d'autre à déballer que leur rage et leurs frustration d'avoir été chassés, virés pour avoir osé ouvrir leur gueule.

 

Parce qu'ils avaient vu, oui, bien vu, et bien dit, que l'humanité sombrait, et que le projet n'avait plus rien à voir avec le projet.

 

Alors ils débarquent, en cassant les murs, avec des bras cassées, des jambes cassées, des gueules cassées, pour nous replonger dans la vie. Représentations surgissantes de nos blessures, de nos paradis perdus, et de nos illusions meurtries.

 

Dans un deuxième temps, ces mondes, le haut et le bas, vont se rencontrer et se fusionner, en passant par une laverie. Une machine à laver. C'est ce qu'on appelle le « mix ». C'est ce que les anges appellent « le projet ». Cette rencontre transite par la parole, et on ne sait pas très bien si la parole jaillit d'un bouleversement identitaire, ou si un bouleversement identitaire fait jaillir de la parole. C'est le principe de l'échange, d'ailleurs. Du dialogue. Et on ne sait pas non plus qui de l'ange ou de l'humain en sort le plus bouleversé. Bouleversement des humains en marche vers leur libération. Bouleversement des anges en marche vers leur humanité.

 

Les anges, passionnés par leur projet, et persuadés que cette rencontre sur le toit de l'immeuble va remettre du combustible et humaniser la terre, s'attellent, mi-coach, mi-analystes, à travailler au corps les humains pour les faire craquer.

 

Parce que ces anges ont bien débarqué là pour nous réveiller et nous rappeler qu'une révolution est possible dans ce monde. Révolution politique. Mais aussi, et avant tout, et bien avant, une révolution de nos existences. En s'extrayant de la fiction du monde industrialisée, et de ses interminables assujettissements. En retrouvant une écoute radicale de ses émotions, de ses désirs, et de l'autre.

 

Les deux scènes se déroulent dans une même temporalité, pour que les silences des uns soient comblés par le dialogue des autres. Parce que l'autre, c'est aussi, au sens plus universel, ce qu'on a tendance à oublier en Europe, celui qui n'est pas directement relié à soi. Et c'est ça aussi, le projet des anges. Recentrer, et relier des êtres à ce qu'ils sont, et à ce qu'ils sont les uns par rapport aux autres, autant à travers le mur qui sépare les deux appartements, qu'à travers les mers qui séparent le continent, qu'à travers les années qui séparent les siècles. Des anges Spinozistes, en somme.

 

Pour finir, grâce aux incantations et à la mue de Luc en serpent, et à son merveilleux projet de laver les mots de l'affront qui leur a été fait, arrive le troisième temps.

 

Mais de quel affront parle t il, enfin ?

 

La publicité de la nouvelle Freebox annonçait une « révolution ». Sur Facebook, des centaines, des milliers « d' amis » se « like ». Des drones arpentent le ciel au nom d'une guerre « propre ». Les mots les plus importants de la communauté humaine ont, il l'a bien vu, il l'a bien dit, été vidés de leur sens. Par les médias, les politiciens, les agences de communication. Pour vendre. Pour valoriser. Du tout, du rien, du grand n'importe quoi. Un système qui part lamentablement en sucette. Des pingouins qui agitent des bras de manchots pour que ça tienne encore quelques années. Alors le serpent dit Voir Valse Ventre Vigne. Et il danse. Et par sa valse nous amène au troisième temps.

 

Celui ou le puzzle s'assemble. Celui du temps retrouvé. Celui du théâtre. A la lisière de la comédie romantique shakespearienne. Sur la pente magique d'un toit. Unité de l'espace retrouvée. Unité du temps retrouvé. Parole retrouvée. Humanité retrouvée. C'est le rôle du théâtre. Composer, décomposer, et, comme dirait un spectateur, donner une deuxième chance. Une autre chance. Pas une dernière chance. Juste une autre chance.

 

l’écriture

 

Lost (replay)est un texte athée. N’a aucune aspiration mystique, ni d’attirance pour l’au-delà. J’ai emprunté le canevas de la chute des anges, et de la tentation d’Adam et Eve par Satan, car il m’a paru approprié pour parler du monde d’aujourd’hui. La question de Dieu ne m’intéresse pas. La religion m’intéresse pour sa source inépuisable d’histoires car elles sont des inventions humaines générées par la peur de la mort et de l’inconnu. La matière fictive y est donc fascinante et profondément inscrite en nous. Quand je fais tomber les anges sur terre, et non en Enfer, ce n’est pas pour dire que l’Enfer est parmi nous. C’est juste pour nous dire que nous avons besoin de ces anges/diables, besoin d’être confrontés à des projections de nos pensées et de notre imaginaire, faites chair.

 

Après la chute

 

Comme William Blake, nous avons besoin de dialoguer avec des anges déchus, des anges en état de révolte. Les romantiques Anglais se servaient d’anges et de forces occultes pourse battre contre l’ère industrielle et ses injustices. L’avantage d’un monde qui s’est écroulé, dans son tissu social, dans ses valeurs, dans ses ambitions, est que l’on n’en attend pas grand-chose. Et qu’il nous laisse le champ libre. De nos jours, ce qu’il y a de formidable, c’est qu’on peut se servir de ce canevas et en faire à peu près ce qu’on veut, sans risquer de se faire brûler comme hérétique.

 

Maintenant, que la Chute puisse avoir de nombreuses significations historiques, selon les aspirations, Chute du mur de Berlin, du World Trade Center, de la bombe H sur Hiroshima, du cours de la bourse, que pour d’autres, la fable des anges en révolte face à leurs créateurs serait une mise en abîme pirandellienne des personnages et de leurs créateur, cela me convient. Mais je n’ai pas souhaité ancrer Lost ailleurs que dans une réalité dénuée de sens, la nôtre. Dans la ville de Paris, avec des êtres que je connais, imagine, ressens. Le désir est au centre de cette rencontre. De cette tentation. Il n’est pas vraiment question d’autre chose. Ce qui m’intéresse, c’est de fabriquer des anges qui n’ont plus rien à perdre, et qui vont jouer avec les humains pour qu’ils regagnent une certaine forme d’innocence et de liberté. Le seul moyen d’être tendre avec lui, l’humain, est d’être féroce, et de le pousser dans ses derniers retranchements. Comme le Micromégas de Voltaire, on fait débarquer des êtres d’ailleurs pour avoir sur nous un regard neuf. En ce sens, ils se font passer aisément pour des réfugiés de l’Est. Je rejoins là ma thématique des trois derniers spectacles autour des demandeurs d’asiles. La place de l’autre est le regard de l’artiste. Qui a encore le pouvoir de transformer, interpréter, affabuler.

 

Mais ces anges sales ne sont pas si nihiliste que ça. Ils ont un projet. Leur projet est humble. Que ces deux êtres humains là parlent, se touchent, se désirent. La mise en scène sur le toit de l’immeuble par ces anges nous rappelle qu’ils ne sont rien d’autres que la matière même du théâtre, l’illusoire et le merveilleux. L’humour et le burlesque, archi-présent, naissent de cette alchimie-là. J’ai en tête que l’Homme et la Femme de cette fable ont eux-mêmes conjuré ces anges.

 

Le projet, plus ambitieux de Luc, de démanteler les mots, de les faire renaître libre de ce qui a pu les corrompre, est plus simple qu’il n’y paraît. C’est un projet politique, car si au commencement est le verbe, la plus vicieuse et profonde des perversions est bien celle que le pouvoir exerce sur le langage.

 

Losta aussi cela pour combat, qu’on ne puisse pas dire, qu’à la fin, le verbe n’était plus.

 

 

L’espace est unique, sur trois niveaux,comme troiscouloirs superposés, sur lesquels viendra se poser un toit en zinc, pour la scène finale, grâce à un système ingénieux et simple de Michel Gueldry. Ludiquement juxtaposés dans un même espace, on voit : un sous-sol noirci par le charbon proche de l’univers de Zola ou Dickens ; un espace légèrement 50’s, destinée aux travaux de nettoyage ; un studio « ikeaisé » ; et un studio d’intellectuel vaguement esthète. Il y a peu de profondeur, les espaces sont allongés, étirés, comme des lieux de passage plus que de vie. Espaces séparés par une hauteur de 1m pour qu’il existe une porosité entre elles, et qu’une circulation puisse y exister. Un espace scénique comme un livre à lire, de gauche à droite, et de bas en haut.

 

La musiqueaccompagne les anges, littéralement, géographiquement. Une musique composée et construite autour du souffle. Déclenché par leur mouvement, leur contact, leur approche.

 

La direction d’acteur) constitue désormais l’élément central de mes mises en scènes. Intense, radicale, minérale, en corps à corps constant avec les acteurs, et leur imaginaire. Trouver et puiser en eux un jeu massif, concret, et clairement habité. Cherche avec eux comment travailler une temporalité complice, une innocence, et une disponibilité absolu, pour passer du burlesque à l'intime.

 

Assurer laContinuitéde Lost (Replay) est le 8 ème texte écrit et mis en scène par Gérard Watkins. Il s’inscrit dans la suite de IDENTITE. Il rassemble une équipe fidèle au travail de Gérard W,atkins d’acteurs, scénographes…

 

C’est la quatrième collaboration d’Anne Alvaro, de Michel Gueldry, et de Silvia Mammano avec Gérard Watkins, la troisième pour Gael Baron, et Christian Pineaud, la deuxième pour Antoine Mathieu, et Judith Martin, et… la neuvième pour Fabien Orcier.

L’équipe

 

 

Gérard Watkins est né à Londres en 1965. Il passe une partie de son enfance en Scandinavie, et aux Etats-Unis, et s’installe en France en 1973. Il écrit sa première pièce en un acte en 1980, qu’il met en scène au Lycée International de St-Germain en Laye. Il écrit également les paroles et musique de son groupe, « Western Eyes », dans lequel il chante et joue de la guitare jusqu’en 1988. En Classe Libre, au cours Florent, il écrit Scorches, qu’il met en scène avec une quinzaine d’acteurs. Il entre au C.N.S.A.D, ou il écrit Barcelone, tout en suivant des cours avec Viviane THEOPHILIDES, Michel BOUQUET, Pierre VIAL, et Gerard DESARTHE. Il joue ensuite comme acteur dans une trentaine de productions, avec Véronique BELLEGARDE, Jean-Claude BUCHARD, Elizabeth CHAILLOUX, Michel DIDYM, André ENGEL, Marc FRANCOIS, Daniel JEANNETEAU, Philipe LANTON, Jean-Louis MARTINELLI, Sylvain MAURICE, Lars NOREN, Claude REGY, Jan RITSEMA, Bernard SOBEL, et Jean-Pierre VINCENT. Il joue au cinéma avec des réalisateurs comme Julie Lopez CURVAL, Sébastien LIFSHITZ, Jean-Marc MOUTOUT, Pierre MOREL, Jérome SALLE, Yann SAMUEL, Julian SCHNABEL, Hugo SANTIAGO, et Peter WATKINS. Il met en scène tous ses textes, La Capitale Secrète, Suivez-Moi, Dans la Forêt Lointaine, Icône, La Tour, dans des espaces différents, allant du théâtre l’Echangeur et le Colombier à Bagnolet, au Théâtre Gérard Philipe de St Denis, Théâtre de Gennevilliers, la Ferme du Buisson, en passant par la piscine municipale de St Ouen. Depuis 1994, il dirige sa compagnie, le Perdita Ensemble, qui réunit acteurs et actrices, (Anne Alvaro, Gaël Baron, Odja Llorca, Anne Lise Heimburger, Antoine Matthieu, Fabien Orcier, Nathalie Kousnetzoff, etc.) scénographe, (Michel Gueldry), éclairagiste (Christian Pineau), créatrice son (Diane Lapalus) dramaturge (Sophie Courade), et administratice (Silvia Mamanno). Il est lauréat de la fondation Beaumarchais, du Centre National du Livre, et de la Villa Medicis Hors-les-Murs, pour un projet sur l’Europe. Il a obtenu cinq aides à la création de la DMDTS/CNT.

Il a également traduit Martin Crimp, Jean Small, Felix Okolo, Mark Ravenhill et Harold Pinter.

 

Identité, son dernier texte, a été créé en avril 2009 à la Comète 347 et est repris la saison prochaine au théâtre la Bastille, au CDN de Besançon, à la MC2 Grenoble, au Théâtre Garonne, au théâtre Les ateliers à Lyon, au Panta théâtre à Caen et à Bienne, en Suisse.

Il prépare actuellement, Lost (Replay)Théâtre Bastille 2012/13, Je ne me souviens plus très bien. Monsieur Qui et les maîtresses de l’univers ainsi que Europia / fable géo-poétique spectacle de sortie des élèves de l’ERAC 2013.

Il est lauréat du Grand Prix de la littérature dramatique 2010

Anne Alvaro a travaillé au théâtre avec Giorgio BARBERIO-CORSETTI, Maurice BENICHOU, Jean-Claude BUCHARD, Hubert COLAS, Giorgio Barberio CORSETTI, André ENGEL, Jean DAUTREMAY, Pierre DEBAUCHE, Anne DIMIDITRIADIS, Alain FRANÇON, Gabriel GARRAN, Claude GUERRE, Lucas HEMLEB, Sandrine LANNO, Claire LASNES, Georges LAVAUDANT, Denis LLORCA, Jean-Pierre MIQUEL, Magali MONTOYA, Alain OLLIVIER, Luis PASQUAL, Patrick PINEAU Lucian PINTILLIE, Michel RASKINE, Bernard SOBEL Anne TORRES, Vladimir YORDANNOF, Serge VALLETTI, Jean-Pierre VINCENT, Andrezj WAJDA, Gérard WATKINS, Robert WILSON, et au cinéma avec Mathieu AMALRIC, Bertrand BLIER, Giorgio DIRITTI, Romain GOUPIL, Claude GORETTA, Agnès JAOUI, Sébastien JAUDAU, Noémi LVOSKY, Sandra NETTELBECK, Raul RUIZ, Claire SIMON, Julian SCNABEL, Andrezj WAJDA. Ele a également mis en scène MACCHIA, MARIVAUX et SHAKESPEARE

Elle a obtenu deux césars pour « Le Goût des Autres » et « Le Bruit des Glaçons » Molière meilleure actrice 2008 pour le Cri de Howard BARKER

 

Gaël Baron Formation au C.N.S.A.D de Paris (classes de Madeleine Marion, Pierre Vial et Stuart Seide), a été acteur résident de la compagnie NORDEY au Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis. Il joue également sous la direction de Gilles BOUILLON, Antoine CAUBET, Françoise COUPAT, Eric DIDRY, Gislaine DRAHY, Frederic FISBACH, Stéphanie LOIK, Bruno MEYSSAT, Gildas MILIN, Claude REGY, Christian RIST, Jean-Baptiste SASTRE , Jean-Michel RIVINOFF, Jean-François SIVADIER, Jean-Pierre VINCENT, Gérard WATKINS. Il a co- mis-en-scène et joué avec Valérie DREVILLE, Jean-françois SIVADIER, Nicolas BOUCHAUD, le “PARTAGE DE MIDI”.

 

Antoine Matthieu Formation au TNS, il a joué au théâtre dans des mises en scène de Stéphane BRAUNSCHWEIG, Jean-Claude FALL, Julien FISERA, Alain FRANCON, Adel HAKIM, Joel JOUANNEAU, Yanis KOKKOS, Jean-Louis MARTINELLI, Lars NOREN, Charles TORJMANN, et Gérard WATKINS, et au cinéma, avec Pascal FERRAN, et Mia HANSEN-LOVE.

 

Fabien Orcier Formation au CNSAD,vient de jouer dans La Cerisaieet dans 3 Tcheckhov, de Anton Tcheckov, mis en scène par Patrick PINEAU. Il a aussi travaillé avec Jean-Hugues ANGLADES, Nelly BORGEAUD, Claire LASNE, Georges LAVAUDANT, Bernard LEVY, Laurence MAYOR, Laurent PELLY, Eric PETITJEAN, Karel REISZ, Serge SANDOR, Bernard SOBEL, Olivier TCHANG TCHONG, et Frederic TOKARZ. Il a notamment joué dans toutes les créations de Gérard WATKINS depuis Scorchesà l’école de l’acteur Florent en 1985.

 

Nathalie Richard a travaillé au théâtre avec Catherine Anne, Yves Beaunesne, Jean-Louis Benoît, Anne Dimitriadis Jean-Claude Fall, André Engel, Philippe Lanton, François Peyret, Jean- Baptiste Sastre,, Jean-Pierre Vincent, et au cinema avec de Judith Abitbol, Olivier Assayas, Chantal Akerman, David Barker, Éric Caravaca, Catherine Corsini, Jean-Pierre Darroussin, Ilan, Duran Cohen, Michael Haneke, James Ivory, Pierre Jolivet, Cédric Kahn, Cédric Klapisch, Hervé Le Roux, Jean-Pierre Limosin, Andrew Litvack, Alfred Lot, Jacques Maillot, Tonie Marshall, Arnaud des Pallières, Laurent Perrin, Jacques Rivette, Mark Romanek, Marie Vermillard et Christian Vincent , et au théâtre dans des mises en scènes de Elle reçoit le Prix Michel Simonen 1989 pour le film La Bande des quatrede Jacques Rivette. Elle a également mis en scène Martin Crimp au Théâtre National de Chaillot.

Michel Gueldry est néen 1971, à Belleville. Scénographe, constructeur lumière, il est aussi à l’aise avec le théâtre de rue, les circassiens, qu’avec le théâtre contemporain. II a travaillé avec la compagnie Derezo, Virginie Deville, Sophie Buis, Le Quatuor Caliente, les Sea-Girls, Olivier Tchang-Tchong, Cirque Balafon. Le perdita ensemble lui doit notamment la scénographie incroyable d’Icône, à la piscine de Saint-Ouen, et celle de La Tour.

 

 

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commentaires

S
Bonjour<br /> Je vous remercie Le Grand Maître Marabout Voyant Médium KABIROU ma vie a changé Grace à Vous.<br /> Je vous remercie infiniment ,si vous le permettez de faire ce témoignages par ici car je suis très heureuse l'émotion me met or de moi.<br /> Je suis issu d'une famille française vivant à Toulouse dont je ne connais meme pas mes parents car j'ai fait l’orphelinat depuis mon enfance car les sœurs de l'église de l’orphelinat ou on ma mis m'ont dit que mes parents sont décédé dans un accident de circulation au cours d'un voyage mais ce n'est plus la le plus important.Le plus important c'est que depuis que j'ai fini mes études je n'ai pas eu un emploi c'est difficile de trouver un emploi et j'ai chaumé pendant 2 ans ,mais un jour je me promenais sur l'internet quand quelque chose m'a poussé vers les marabout africain dont maitre KABIROU puissant ,apres qu'il ait fait des consultations sur moi ,il m'a fait des rituels et m'a promis que ca ira je n'ai pas cru.Mais au cours de ces rituels une société de la place m'a appelé pour un poste vraiment il existe encore de bonne choses en Afrique et ce marabout est capable de faire beaucoup de miracles,la magie noire ,mais il faut voir ce monsieur kabirou,le plus grand maître marabout sérieux.contacter le sur ce mail:maraboutkabirou@outlook.fr ou sur ce numero:00229 98 74 96 07
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S
Bonjour<br /> Je vous remercie Le Grand Maître Marabout Voyant Médium KABIROU ma vie a changé Grace à Vous.<br /> Je vous remercie infiniment ,si vous le permettez de faire ce témoignages par ici car je suis très heureuse l'émotion me met or de moi.<br /> Je suis issu d'une famille française vivant à Toulouse dont je ne connais meme pas mes parents car j'ai fait l’orphelinat depuis mon enfance car les sœurs de l'église de l’orphelinat ou on ma mis m'ont dit que mes parents sont décédé dans un accident de circulation au cours d'un voyage mais ce n'est plus la le plus important.Le plus important c'est que depuis que j'ai fini mes études je n'ai pas eu un emploi c'est difficile de trouver un emploi et j'ai chaumé pendant 2 ans ,mais un jour je me promenais sur l'internet quand quelque chose m'a poussé vers les marabout africain dont maitre KABIROU puissant ,apres qu'il ait fait des consultations sur moi ,il m'a fait des rituels et m'a promis que ca ira je n'ai pas cru.Mais au cours de ces rituels une société de la place m'a appelé pour un poste vraiment il existe encore de bonne choses en Afrique et ce marabout est capable de faire beaucoup de miracles,la magie noire ,mais il faut voir ce monsieur kabirou,le plus grand maître marabout sérieux.contacter le sur ce mail:maraboutkabirou@outlook.fr ou sur ce numero:00229 98 74 96 07
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